Bienvenue sur le site des Amoureux du Vieux Langeais www.amoureuxduvieuxlangeais.fr - 2016-2020 Située sur la rive nord de la Loire et traversée par deux de ses affluents, la Roumer et le Breuil, Langeais, petite  ville ligérienne de plus de 4000 habitants, est célèbre pour son château où fut célébré le mariage du roi Charles VIII et d'Anne de Bretagne, pour son donjon de pierres construit par Foulque Nerra vers l'an mil que l'on rapporte être  le plus vieux de France et pour son pont que certains considèrent être l'un des plus beaux de France. La vocation touristique de Langeais est donc évidente mais notre cité  est bien plus que cela, LES AMOUREUX DU VIEUX LANGEAIS ont  voulu en témoigner en proposant ce site dans lequel sont évoqués : - la vocation industrielle de la ville et notamment l’épopée  de l’argile avec son fleuron : les faîences de Langeais ;  puis la reconversion pendant la seconde moitié du XXè siècle  avec la création de Plasturgie Valley ; ces sujets sont abordés dans les 2 onglets : o Les faïences et la terre de Langeais o L’industrie à Langeais   Ces 2 onglets évoquent aussi les autres industries  passées et/ou présentes : la boutonnerie, les poupées, le  matériel agricole... ; - les activités liées au fleuve royal et à l’omniprésence de  l’eau : la création du pont de Langeais, les tanneries, le  chanvre... voir l’onglet : o Langeais la ligérienne - la présence du tuffeau, facteur déterminant du modelage de  notre cadre de vie, fierté du Val de Loire et de Langeais ; voir  l’onglet : o Le tuffeau à Langeais - la viticulture qui a connu ses heures de gloire et qui est  toujours présente dans le canton de Langeais ; voir l’onglet : o Les faïences et la terre de Langeais L’avant dernier onglet : o Langeais d’hier et d’aujourd’hui présente les images du passé et du présent de Langeais et le  dernier onglet : o Les Publications des AVL   est consacré aux brochures déjà publiées par les Amoureux du  Vieux Langeais.  Et si vous souhaitez en savoir plus sur la ville de Langeais et son  passé, rendez-vous avec le 2nd onglet : o Connaître Langeais LA CREATION DES AVL   Dans les années 1980 un petit groupe d’amis non langeaisiens  de naissance s’est étonné de ne rien trouver sur les activités artisanales, industrielles, agricoles de leur ville  d’adoption.   Par bribes, par des allusions ou des conversations furtives le  Pont semblait avoir une histoire surprenante. Les cheminées  qui s’érigeaient en ville représentaient encore l’activité  briquetière de Langeais et de La Rouchouze mais les autres  quelle avait été leur activité ? Quand avaient-elles cessé de  fonctionner ? Et puis on parlait aussi de «  collectionneurs de  langeais » ; faïences vieillottes et tarabiscotées dont certains  vestiges se trouvaient sur des appuis de fenêtre du côté de «  Mort vous-êtes » ou « des Culveaux.» Madame Pinon « contremaîtresse à la boutonnerie » était une  femme respectée et respectable voire crainte dont on parlait à  voix basse. Une boutonnerie à Langeais cela peut paraître  étrange. Une boutonnerie où on fabriquait des boutons en  corozo… Plus tard, dans les mêmes locaux on confectionnera  les poupées Clodrey connues dans le monde entier. Chacun  connaissait une ouvrière à domicile qui implantait les cheveux  dans le crâne des poupées. On les reconnaissait à leurs doigts  abîmés par ce dur travail. Plus tard encore, les poupées  Corolle, actuel fleuron de l’industrie langeaisienne, vinrent  les remplacer. Dans ces années-là, la sirène de l’entreprise de matériel  agricole « Souchu-Pinet » rythmait  la vie des habitants, aux  heures d’embauche et de débauche. Et puis on parlait des melons de Langeais et du grolleau  récolté sur les plateaux argileux. C’était un petit « vin de soif  ». A la place des vignes se construisaient un Collège, une  maison de Retraite, des pavillons.  Le chanvre récolté de l’autre côté de la Loire avait fait vivre un  cordier mais son fils avait pris la suite et faisait des cordages  en nylon... Tout changeait dans cette ville… même les champignons ne se cultivaient plus de la même façon… L’idée est alors venue de mobiliser les langeaisiens sur ce  patrimoine qu’ils semblaient ignorer ou qui faisait trop partie  de leur quotidien pour qu’ils s’y intéressent en collectant les  documents, en interviewant les plus anciens et en compilant  les informations dans des publications.   L’association « Les Amoureux du Vieux Langeais » allait  bientôt naître...  Et l’objectif de la future association était clair : être la  mémoire des langeaisiens pour les nouvelles générations  et celles qui leur succèderont. Le petit groupe d’amis dont il est question en début de  chapitre s’est réuni pour faire une assemblée générale  constitutive. Et l’un d’entre eux a écrit la brochure sur le Pont de Langeais    dont l’architecture suscite bien des interrogations. C’était la première publication des Amoureux du Vieux  Langeais ; elle fut accompagnée d’une exposition, comme la  plupart des publications suivantes. Peu ou pas de moyens  pour l’impression mais la publicité des commerçants et  artisans a permis la réalisation du projet et la bienveillance  des élus a permis l’exposition dans une salle municipale.   Langeais, vue d'ensemble vers le milieu du XXè siècle A ce jour 14 publications ont été éditées par les Amoureux du Vieux Langeais ; pour en prendre connaissance  et les commander, cliquez sur le dernier bouton « Les Publications des AVL ». Faïence de Langeais de la grande époque Le château de Langeais (XVè siècle) et le donjon de Foulque Nerra (Xè siècle) construits en pierre de tuffeau. Le tuffeau est le trait d'union entre toutes les époques Le Pont de Langeais au dessus de la Loire